Ce midi, sur la terrasse ensoleillée, je musardais.
L’ambiance était propice à la flânerie.
Le ciel était d’un bleu franc, un bleu charmeur, comme pour vous faire oublier que l’automne était là.
Je buvais mon café, je savourais l’instant. J’avais tout juste lu à peine une dizaine de pages de mon nouveau bouquin « La voyageuse ».
Je contemplais à nouveau le bleu azur, l’automne était bien là, un nuage de coton, à peine, s’était accroché dans les branches du « Prunus ». Faut dire qu’il avait un drôle d’air, le Prunus de début d’automne, des feuilles en partie basse, mais plus un ramage en partie haute, comme une tête à demi chauve, ou alors une coupe en brosse, et le nuage, comme accroché par le vent dans ses branches.
Un bruit de feuilles me fit baisser le nez. Ce n’était pas le vent, non, un animal, sûrement. Je ne l’ai pas vu de suite. C’était un écureuil, tout roux, avec son joli panache qui jouait au pied du Prunus. L’animal espiègle semblait m’ignorer, il fit le tour du tronc, pris la position de la statue, l’air de rien, puis, hâbleur, fila dans la pelouse sous mon regard médusé.
Sans s’attarder, il s’enfuit baguenauder dans la haie un peu plus loin.
J’ai repris ma lecture de « la voyageuse », mon café au coin des lèvres, un moment de bonheur à la saveur d’automne.
Comme le bleu du ciel!
J’aime les écureuil qui grignottent entre potes, qui croquent avec leurs jolies quenottes sans idées sottes comme par exemple se mettre des menottes, se cacher dans une grotte, mettre des bottes….! J’aime les écureuils qui grignottent entre potes ou….à la limite j’aime aussi imaginer celui qui regarde et qui,son café au coin des lèvres….. »sirote ».
Squirrel, un sourire au coin des lèvres, à vous lire au détour d’un commentaire. Telle une polyglotte, se jouer de la mascotte et de celui qui parlotte comme un don quichotte, quelque chose qui vous trotte, là au fond de la hotte comme un air imaginaire à croquer sous l’anecdocte. :)))))))))))
Méfiez vous ! je ne suis pas une cocotte qui radote ! tout au plus une astronaute un peu sotte qui grelotte sur une motte en lisant toute vos notes !!!j’adore moi aussi la parlotte , ne faîtes pas la marmotte ! écrivez moi, je vous lirai telle une dévôte !
F.
Mais reviens donc lire quand tu voudras.