Du blanc

Du manque !

Cet état indéfinissable qui te surprend toi-même.

Au bureau, un jour de Décembre, entendre,

« Dites Pyrome , çà n’a pas l’air d’aller, on dirait que vous n’êtes pas là ! »

4 réflexions au sujet de « Du blanc »

  1. il n’est pas vraiment d’espace dans ce vide
    juste un afflux d’interstices
    une inflation de micro-fractures
    limpides comme votre faste

    même enseveli sous les usures ordinaires
    le grand rift affleure
    et le galop s’enfièvre
    comme un carrousel en éruption

    alors la dérive se désaxe
    et seul le regard sur votre poing fixe
    singulier mouillage d’abandon
    atténue le tournis ou l’accélère

  2. Que dire? sinon que le silence n’est pas l’absence… que le manque ne peut exister que si on lui fait de la place dans son coeur et dans son esprit
    Blanc … mais blanc est une couleur! Imagines tu la neige d’une autre couleur? Le blanc est indispensable, tout comme le silence. Imagines tu une partition de musique sans silence?

    Allez zou! on se colorise et on se remplit! 🙂

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