Du manque !
Cet état indéfinissable qui te surprend toi-même.
Au bureau, un jour de Décembre, entendre,
« Dites Pyrome , çà n’a pas l’air d’aller, on dirait que vous n’êtes pas là ! »
Du manque !
Cet état indéfinissable qui te surprend toi-même.
Au bureau, un jour de Décembre, entendre,
« Dites Pyrome , çà n’a pas l’air d’aller, on dirait que vous n’êtes pas là ! »
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il n’est pas vraiment d’espace dans ce vide
juste un afflux d’interstices
une inflation de micro-fractures
limpides comme votre faste
même enseveli sous les usures ordinaires
le grand rift affleure
et le galop s’enfièvre
comme un carrousel en éruption
alors la dérive se désaxe
et seul le regard sur votre poing fixe
singulier mouillage d’abandon
atténue le tournis ou l’accélère
Que dire? sinon que le silence n’est pas l’absence… que le manque ne peut exister que si on lui fait de la place dans son coeur et dans son esprit
Blanc … mais blanc est une couleur! Imagines tu la neige d’une autre couleur? Le blanc est indispensable, tout comme le silence. Imagines tu une partition de musique sans silence?
Allez zou! on se colorise et on se remplit! 🙂
je voudrais la date. la date à laquelle ce texte fut écrit. s’il vous plé, M’sieur, merci.
🙂
Je ne connais pas Julie mais elle a raison…