Voyager léger qu’ils disaient.
Hum! Scrogneugneu! j’étais en pétard!
Je suis arrivé sur Paris, mon collègue me fait, regarde, on voit la tour eiffel (moi j’étais dans mon bouquin, vi, je sais, c tjs le même, et je lis avec parcimonie, mais en l’occurence, « la voyageuse » pendant un voyage, cela donnait un air complice à ma lecture).
Je lève le nez (bon, d’accord, j’pourrais dire ote chose, d’abord je dis et j’écris skejeveux).
Et là, je vois Paris, mille lumières sur la ville et la tour Eiffel, minuscule lampion aux éclats de diamants, superbe, et une lumière intermittente au sommet, tel un phare, un faisceau surpuissant balaie le ciel (suis sûr, même à distance tu l’as vu en le prenant pour une étoile filante!), comme une poursuite dans une salle de spectacle, une poursuite infinie, comme un air de fête de Noël, un air gai.
Mais aussi…Faire du ciel le plus bel endroit de la terre.
Plus tard, dans mon taxi, suis passé pas très loin, et elle éclatait toujours de mille feux, arogante dans sa tenue de strass et de paillettes, une tenue de soirée de fête, comme un air de St sylvestre, un air gai.
maimequeuejeulesvolet