L’année dernière cette jolie fleur s’était flétrie avant même sa pleine floraison.
Trop arrosée, pas assez sec, trop frais, pas assez chaud, sol trop argileux, pas assez riche, je ne sais, mais la belle plante s’était ratatinée comme (comme koi???), comme une crêpe, ratatinée comme une crêpe.
(Mais nan! franchement, l’expression c’est « retourné comme une crêpe », pas ratatiné!!!).
Euh! là, j’sais pas, le mot sur le bout de la langue (tiens à propos, nan, rien!), comme un soufflé, ratatiné comme un soufflé alors!
(Maaaaaaa, c’est gonflé comme un soufflé qu’on dit mais pas ratatiné).
Ben, je vois que tu cuisines pas souvent, parce que le soufflé c’est plus souvent ratatiné que gonflé…
(Comme beaucoup de choses d’ailleurs que tu ajoutes…avec un Mhmmm! Mhmmmm! entendu et narquois)
Euh! là t’en sais rien d’abord… Mhmmmm! Mhmmm! que je te rétorque nananananère 😛
Disons, que la jolie plante (si tu connais le vrai nom de la plante, tu me le souffles) s’était réduite comme peau de chagrin (ah! tu vois, çà c’est mieux!), au bout de 3 jours de préparation florale prometteuse , il ne restait guère qu’une vague trace brunâtre, comme une touche de baguette magique pas magique du tout, ou alors un sortilège maléfique. Rien, plus aucune trace de vie!
Mais cette année, avec ce printemps pourtant bien frileux, elle est ressortie alors que je croyais qu’elle avait définitivement disparue, et avec une inflorescence sublime! Un coeur ravissant…