(Le paradis de Chagall / Musée de Nice)
Bonne année,
Bonne santé,
Paradis
Après la fin de tes jours.
(Tsstt, tu me fais, c’est pas çà du tout)
Attend, attend, … t’as raison, c’était pas çà!
Bonne année,
Bonne santé,
Paradis
à la fin de tes jours.
C’était la formule apprise sur le bout des ongles que je devais réciter à chaque « nouvel an ».
(Tsstt, tu me fais, c’est pas çà du tout)
Grrr! Là tu chipotes quand même!
C’était la formule apprise sur le bout des ongles que je devais réciter à chaque « premier de l’an » à tout un chacun. Quand je dis un tout un chacun, avec des limites connues, la famille proche, grands-parents et les voisins immédiats.
C’était la formule magique qu’il fallait sortir en toute hâte, la politesse voulait que l’on soit les premiers des premiers à l’annoncer.
A défaut de paradis, je souhaite à tous plein de bonheur.