Aujourd’hui, je compte les moutons dans ma pelouse.
Et puis d’abord, je compte ce que je veux.
« Dessine moi un mouton » me fait le chat qui me suit des yeux.
Et voilà.
« Euh! elle est bleue ton mouton » me fait le chat.
Je savais bien que les chats n’y voyait rien ni en grammaire, ni en couleur.
PS: Dessin exécuté à la plume.
Je doit avoir un côté félin…je vois bien ton mouton , il est bleu…
🙂
Il y a si longtemps lutin que je ne suis pas passée chez toi. Trop longtemps évidemment mais la beauté des blogs c’est qu’ils nous permettent de remonter le temps :-0
Je suis allée du désir de l’impossible, au chat bleu ou quelque chose du genre, sans me soucier du printemps et même de l’été survenus entre temps.
Le désir de l’impossible me reste collé quelque part entre les deux oreilles. Le désir, le désir surtout, car l’impossible me laisse de marbre. Peut être est ce mon coté nord américain : « yes we can » qui le tient en quantité négligeable, à tort ou à raison d’ailleurs, je ne sais pas.
Il y avait tant de choses impossibles pour ma mère et mes tantes qui ont bercé mon enfance. Tant de choses qu’elles ne pouvaient pas désirer car elles ne savaient pas les imaginer. Aucune d’entre elles n’avaient le désir de boire un verre de vin sur une terrasse à Paris ou Londres. Aucune d’entre elles ne buvait de vin 🙂 et ne pouvait imaginer un tel voyage.
Quant à moi, je suis allée à New-York et à Paris dans le même trimestre, et que pour le plaisir ! Assurément un tel désir fut totalement impossible à ma mère.
Le désir ne commence t’il pas toujours par l’impossible ? Après…et bien comme disent les anglais…Fait bien attention à ce que tu désires car la vie pourrait bien te le donner.
Bonne journée lutin.