« Cher ami,
Je suis heureuse de vous dire que j’ai
bien compris l’autre jour que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
danser, je conserve le souvenir de votre
baiser et j’aimerais beaucoup que ce soit
une preuve que je suis aimée et désirée
par vous. Je suis prête à vous montrer mon
affection toute désintéressée et sans cal-
cul et si vous voulez vraiment me voir
vous dévoiler sans aucun artifice une âme
toute nue, daignez au moins venir chez moi,
nous bavarderons franchement entre nous.
Je vous prouverai que je suis la femme
capable de vous apporter l’affection
la plus étroite et aussi la plus profonde,
l’épouse la plus fidèle et la plus sure
que vous puissiez imaginer. Oh! Comme votre
amour me sera doux car la solitude qui m’ha-
bite est longue, dure et sûrement bien
pénible et mon âme en est fortement é-
branlée. Venez vite vous pourrez me la
faire oublier, et à vous je peux me sou-
mettre entièrement.
Celle qui vous aime »
6 réflexions au sujet de « George et Alfred »
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où l’on démontre que même les mots les plus crus peuvent devenir sublimes quand le désir est réel… joueuse George, malheureuse aussi…
loulou, croisement de thèmes…bisous toi.
il est vrai qu’une ligne sur deux c’est plus piquant …. bises
Quand je mets a vos pieds un éternel hommage,
Voulez-vous qu’un instant je change de visage ?
Vous avez capturé les sentiments d’un coeur
Que pour vous adorer forma le créateur.
Je vous chéris, amour, et ma plume en délire
Couche sur le papier ce que je n’ose dire.
Avec soin de mes vers lisez les premiers mots,
Vous saurez quel remède apporter à mes maux.
*Jade* 😉
ouiiii..ceux là je m’en souviens!!mdrrrrrrrrrr
les autres pas du tout…
l’art des mots..dire sans révèler vraiment tout en les exprimant les plus..profondes aspirations!!
la codification…quand seul (e) le destinataire détient les clés du message..
Just..
Je confirmes poison55
ben alors
tu n’ecrit plus rien
petit lutin orange
bisousssss vanilléssssssss
cklb