L’automne est une saison propice pour la mélancolie, la douce nostalgie.
Se laisser porter…
Et je me souviens, de cette jeune femme, artiste peintre, à qui je faisais remarquer sans savoir que son patronyme rappelait furieusement mon pays natal et qui avait dédicacé, en terre Bourguignone, la lithographie qui trône dans mon entrée d’un simple mot,
« Merci pour la petite odeur du pays de Papa ».
C’est un petit bout qui respire tout ce que j’ai perdu. Plus les ans passent, plus cette odeur a une saveur irremplaçable. Unique car son pays natal est unique, et quand celui-ci a quelques racines, alors jamais l’odeur ne se perd vraiment, elle manque tout simplement.
C’est tellement vrai, Paris m’a manqué partout, j’aime ma ville malgrè ses inconvénients…
j’ai écouté les extraits. merci pour l’info, c’est de la vraie bonne musique, très bien jouée. le bouchon sera ravie.
@Heure-Bleue, Oui, oui, mille fois vrai!
@Loulou (La Grande) – Les hasards parfois…