Je n’imaginais pas que ce colosse* puisse être fragile.
Je n’imaginais pas que cette puissance de la nature trébuche.
Je n’imaginais pas que cet homme un jour puisse partir.
Je n’imaginais pas que ce Rabelaisien de la table s’arrêtât de manger.
Je n’imaginais pas…
Mais un beau jour d’été, il est parti.
*Paulo