Une note de vanille boisée et une finale beurrée.
Dis, çà te fait penser à quoi ?
Non, ce n’est pas un délire d’écriture du lutin par une nuit d’insomnie.
Bon, petite analyse de texte:
Arôme d’abricots.
Allez, je ferme les yeux, fin d’été, en août, de beaux abricots velours et juteux, Mmmhmm!
Et de poires.
Ben, là, j’aime moins le mélange non! Abricot et poire, c’est pas la même saison!
Ah! Aux nuances de noix
Celui qui a écrit çà a dû consommer le noyau de l’abricot ou alors, l’odeur, non, vraiment, là y a un truc qui cloche grave.
Tu me diras, ce ne sont que des nuances, alors, si l’auteur joue sur les nuances…
Une note de vanille.
Vi, çà je le goûte plutôt bien, une note de vanille, c’est léger, un accompagnement.
Mais une note de vanille boisée !
Là j’avoue j’ai un peu de mal, vraiment je ne sens pas du tout le goût forestier pas plus qu’une atmosphère de bûcheron, ni même de feu de cheminée…
Et la finale beurrée, çà doit être pour faire glisser le tout.
Namého!!!
Je crois que celui qui écrit les menus s’est pris pour le lutin en délire 🙂
C’était le vin blanc servi, Chardonnay pays d’oc 2004 !