Rendez-vous

rendezvous

Il n’y a pas de hasard,
il n’y a que des rendez-vous
Texte: Diane Dufresne / Musique: Alexis Weissenberg

Tableau « rendez-vous » par Collier Campbell lifeworks

Depuis votre départ aucune nouvelle de vous
Je récidive, je m’égare, en vous cherchant partout
Sans rien attendre, j’attends surtout un signe de vous
Vous avez droit à tous mes égards, est-ce l’amour fou ?
Il n’y a pas de hasard
Il n’y a que des rendez-vous

Où êtes-vous quand je pense à vous, réel et flou
Sans rien prononcer, je vous parle, m’entendez-vous
Je m’ennuie de ce doux regard par-dessus tout
Et cette odeur de voleur de roses dans votre cou
Il n’y a pas de hasard
Il n’y a que des rendez-vous

Dans cette ville où il se fait tard, je pense à vous
La rue est d’un teint blafard, que faites-vous
Une voiture éteint ses phares
Oh !
Quand tout à coup
Vous êtes là, suis-je en retard, mais que dites-vous ?
Il n’y a pas de hasard
Il n’y a que des rendez-vous

 

Connivence

connivence

La simple connivence
d’une belle effervescence.
L’acidulée complicité
bien plus que séduction.
L’intense fébrilité
avec un brin de pudeur.
Le sentiment étrange
d’un lutin orange.
Un bout de bonheur
plus qu’une sensation.
La simple effervescence
d’une belle connivence.
La jolie séduction
d’une acidulée complicité.
L’intense pudeur
d’un sous-jacente fébrilité.
Une couleur orange
tellement étrange.
La profonde sensation
d’un pur bonheur.

Goblin, lutin orange de la nuit.
… et taquin aussi
L’intensité effervescente d’une connivence.
La fébrile complicité étrange et pudique.
Le sentiment d’un bonheur acidulé.
La sensation d’un lutin un brin séduit.
Plus qu’une couleur orange.