Il y a parfois des moments kaïros où succomber devient plaisir;
Plaisir simple et épistolaire enfin de vous écrire.
La première fois que je vous ai vue,
C’était depuis un café, à l’angle d’une rue.
Je ne sais ce qui m’a fait me détourner,
Au moment même où vous passiez;
Sans doute une intuition magique,
Une silhouette de dos, une allure.
C’était un samedi, dans les rues de Paris.
Plus tard, quand en voiture,
Je reconnus votre démarche, était-ce Luxembourg ou Tuilerie?
Peu importe, les palpitations des premiers moments,
Un irrépressible sentiment,
Comme un pianiste jouant un morceau de vie.
Passant à votre hauteur,
Votre main s’égara dans vos cheveux châtain,
Juste le temps d’entrevoir
Un carré de votre peau et son velouté;
Emmitouflée que vous étiez
Dans cette matinale fraîcheur.
Votre joli regard s’est détaché,
Juste le temps de le croiser.
La chamade me saisit
Sans que je n’y comprenne rien.
Depuis lors, j’ai l’impression de partout vous revoir,
Humant je ne sais quelles effluves sur ce trottoir
Est-ce obsession ou addiction?
Il n’est pas un jour sans que ne surgisse votre image
Comme une icône de passage 😉
Pas une nuit sans que je ne vous croise dans mes songes oniriques.
Vous êtes devenue sans le savoir
Le tourment de toutes mes pensées.
Vous êtes déjà unique,
Entre intuition,
Exception
Et passion.
Deux petits fours et une déclaration
La première fois que je vous ai vu , c’était un samedi , à Paris.Je marchais tête basse , je ne sais ce qui m’a fait relever le menton, peut être cette sensation inexplicable quand un regard se pose sur vous? Mais pourquoi donc mes yeux n’ont ils pas eu l’audace de croiser votre regard ?
Plus tard , alors que je quittais le jardin des Tuilleries ,je vous ai vu , je ne sais par quelle intuition , je savais que c’était vous.
Je vous ai suivie , j’ai emboîté vos pas , j’étais assez proche que pour sentir votre parfum muscé , que pour entendre votre respiration rendue rapide par je ne sais quelle émotion.
J’ai tourné le coin de la rue , accéléré le pas , contourné le pâté d’immeuble , je ne voulais pas vous perdre.Je voulais croiser votre regard. Je voulais que , toute entière vous me découvriez.
Mon coeur bat la chamade car vous venez de ralentir le pas , vos yeux marrons plongent dans la profondeur du bleu des miens.
Une seconde…il a suffit d’une seconde pour que votre visage ne soit gravé maintenant dans mes songes , mes rêves , mes espoirs…
*Jade*
Cette belle inconnue a bien de la chance.
Bises à l’heure du déca… 😉
Ou la légèrete de l’éphémère rencontre, un parfum, un regard…