Aujourd’hui, dissertation sur une pièce de Musset (que j’ai dû lire illico).
Voici la pièce la plus riche, la plus dense, la plus belle de Musset. Il y a mis, en effet, non seulement son aventure manquée avec George Sand, mais l’impossibilité, inscrite dans son caractère et dans sa vie, d’être heureux avec une autre. Ici, un couple d’amoureux prend l’amour pour un jeu, qui tue un troisième personnage ; pour la victime, l’amour était sérieux. Tout se passe comme si, pour Musset, un tiers nous empêchait toujours d’être deux, ou d’être un. Sous l’apparence comique et l’influence de Marivaux, on trouve l’émotion, le pathétique du représentant de la première «génération perdue» ; ce n’est plus notre siècle, mais c’est toujours le même mal.
Simon Jeune
Pffffffffff!!! J’ai toujours été nul en disserte!
Et une conclusion avec 3 « E »
Evaluation
Elargissement
Epilogue
Joyeux Noel Lutin
🙂 xx
Oh un lutin!!… ben ca existe alors! :-O
Je te remercie pour ton inscription à l’annuaire de Kri
Je viens à la découverte de rton monde…